Entre paix et guerre ( pv Aurore + libre )

Le vent était doux, caressant et frais, la nuit était belle, de son noir intense et de ses étoiles éclatante quand au parc il était d'un calme serein. A cette heure de la nuit, il n'y avait personne...personne à part une jeune poupée qui comtemplait le ciel, étendu dans l'herbe verte et sombre du parc. Les étoiles ce reflétait dans ses yeux grenat qui observait le toit du monde, cela l'apaisait ce sentant si petite dans cette immensité mais elle ne pouvait s'empêcher de ce sentir libre, un ivresse exaltante de liberté ce faisait en elle, comblant ce vide qui menaçait des fois dans son coeur. Elle avait besoin aussi, car c'était un temps mort entre ses interrogations et ses choix...pour l'instant elle restait pacifique avec ses soeurs mais elle ne pourrait pas éternellemnt rester neutre dans ce jeu qui s'annonçait plus impitoyable que jamais cependant dans ce jeu, elle avait ses propres objectifs à atteindre, elle devait être dans les finalistes, elle ne pouvait ce permettre de perdre, elle avait trop soif de savoir et de continuer pour abandonner. Meian ne pouvait avoir la paix, mais elle ne voulait pas la guerre pour autant alors quoi choisir ? Pour l'instant elle c'était imposer un dill finir dans la liste des finalistes en choisssiant ses adversaires. Elle ce releva alors pour ce mettre debout, dans ses dernières visions un nouveau pion c'était annoncer dans la partie d'échec qu'elle allait mener, un pion ? Non cette personne avait les allures de maître de jeu car elle donnait vie à des poupées mais devait elle ce méfier ? Allait elle envoyer ses poupées dans leur jeu ? Quels étaient les attentions de Aurore la nièce de leur père, Rozen lui en avait parler, qu'elle allait bientôt apparaître, cela était fait, restait à savoir si elle devait la compter dans la partie, et c'était pour cela qu'elle lui avait envoyer une invitation dans le parc, qu'elle l'attendait avec pacience.

Elle ne ressentait pas le froid, ni sa morsure transpercante, même si elle pouvait le ressentir, elle n'était pas de ceux qui le craignait comme la peste le froid, c'était plutot vivifiant et la faisait ce sentir plus vivante que jamais. Soudain elle sentit enfin la préscence tant espérer, elle avait répondu à son invitation, l'observant s'assoir sur un banc. Elle s'envola pour aterrir derrière Aurore, c'était voulu, non pour lui faire peur elle s'en fichait, ni la surprendre mais pour pouvoir la toucher, elle posa sa main derrière sa tête. Son flash arriva alors plus violent que ceux qu'elle pouvait avoir avec d'autre objets ou personnes, elle vit alors le passé de Aurore, des brides, des images, essayant de diriger ses attentions, sur des faits qu'elle voulait éclaircir mais cela s'avéra périllieux, le passé de Aurore était complexe et protéger, certains souvenirs lui était comme interdit mais elle pu voir une chose qui la boulversa. Elle revenu dans la réalité, elle était un peu épuiser, savoir le passé de la nièce de son père n'était pas de tout repos mais avait tout de même une données importante qui en avait valu le coup. Elle ce mis cette fois en face de Aurore et s'inclina :

" Pardonnez moi mon irrespect mais...j'avais besoins de certaisn de vos souvenirs pour pouvoir pleinement aborder la discution avec vous Aurore...je suis Meian la clair obscur ou la poupée d'argent à votre guise...première rozen maiden de la deuxième génération..."

Meian observa alors la créatrice de poupée qui avait crée Hanae d'après le ssouvenirs qu'elle avait de la peine à pouvoir regarder. Mais quelque chose était frappant chez Aurore, elle qui connaissait chaque trait du physique de ses soeurs pouvait sans nul doute dire, que Aurore ressemblait à la première de la lignée des rozen maiden, mais était une coincidence ? Meian n'avait pu parvenir à avoir ses souvenirs la de la création de suigin tou avant son réveil, cela avait été bloquer.

" Dite moi, vos qui êtes un maître du jeu...dans cette partie qui ce joue...allez vous y participer avec votre poupée ? "

Ses questions était direct et pouvait ne pas plaire à la nièce de rozen, cependant il était inutile de s'entourer de phrase pompeuse qui était de trop et ne servait à rien.